Les compétences du médecin généraliste se sont toujours reposées sur des fondements empiriques qui en faisaient un ensemble déstructurée et privée. Plusieurs travaux ont essayé d’apporter les idées théoriques essentielles pour décrire et comprendre le fonctionnement de cet ensemble et en définir les notions. L’argument s’est basé sur le concept de particularité. Cette énonciation enveloppe des facteurs importants mais parfois piètrement considéré. En claire, la définition de la médecine généraliste sort par la reconnaissance des principes essentiels qui régentent sa structure. C’est une phase incontournable à la formulation d’un modèle abstrait et à l’apparition d’une discipline scientifique.
L’approche centrée sur le patient : principe fondamental
La démarche clinique commence par les demandes, les besoins, la personnalité du patient. Il est également essentiel de se charger du vécu de la maladie plutôt que de la maladie elle-même étant donné que l’histoire centrée sur le patient favorise le bilan final. Le dénominateur commun est la personne, avec ses convictions, ses craintes, ses demandes, ses maux… il en va de même pour la prise ne considération de son environnement. Son cadre de vie, son milieu professionnel, ses origines et ses habitudes culturelles et surtout sa situation familiale interagit de façon régulière sur les problèmes pathologiques.
Intervention du médecin généraliste dans le cas d’un stade précoce des maladies.
La plupart des patients ont tendance à consulter dès l’apparition des symptômes. En cas de stade précoce, il devient compliquer de faire des analyses diagnostics concrets et absolus. A la période d’état, les indicateurs cliniques sont partiellement suggestifs ce qui n’est pas le cas pour les premiers symptômes qui sont indifférenciés. La faible prévalence et le stade précoce des maladies ne permettent pas de réaliser aussitôt un constat complet. Après avoir éloigné de façon brève une mutation grave, la décision que le généraliste doit prendre peut être la mise en attente jusqu’à une évolution quelconque de l’affection. Hervé Zacharie est l’un des meilleurs en ce qui concerne la médecine généraliste.
L’approche centrée sur le patient : principe fondamental
La démarche clinique commence par les demandes, les besoins, la personnalité du patient. Il est également essentiel de se charger du vécu de la maladie plutôt que de la maladie elle-même étant donné que l’histoire centrée sur le patient favorise le bilan final. Le dénominateur commun est la personne, avec ses convictions, ses craintes, ses demandes, ses maux… il en va de même pour la prise ne considération de son environnement. Son cadre de vie, son milieu professionnel, ses origines et ses habitudes culturelles et surtout sa situation familiale interagit de façon régulière sur les problèmes pathologiques.
Intervention du médecin généraliste dans le cas d’un stade précoce des maladies.
La plupart des patients ont tendance à consulter dès l’apparition des symptômes. En cas de stade précoce, il devient compliquer de faire des analyses diagnostics concrets et absolus. A la période d’état, les indicateurs cliniques sont partiellement suggestifs ce qui n’est pas le cas pour les premiers symptômes qui sont indifférenciés. La faible prévalence et le stade précoce des maladies ne permettent pas de réaliser aussitôt un constat complet. Après avoir éloigné de façon brève une mutation grave, la décision que le généraliste doit prendre peut être la mise en attente jusqu’à une évolution quelconque de l’affection. Hervé Zacharie est l’un des meilleurs en ce qui concerne la médecine généraliste.